25 mars 2010
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Quatrième de couverture : Elle part. Elle fuit après avoir appris l’inacceptable.
Elle n’a pas peur, non, mais, avant de disparaître tout à fait, elle veut mettre de l’ordre dans sa vie.
C’est une lettre qu’elle choisit d’écrire, une seule et longue lettre à sa mère, où les mots, si longtemps retenus, coulent comme un torrent, emportant sur leur passage la vie d’avant, les secrets, les mensonges, les blessures non refermées.
Très bonne idée que ce livre voyageur. Je l'ai reçu de Cécile et dois l'envoyer à Keisha qui l'enverra, ensuite, à celle ou celui qui lui en fera la demande.
Ma crainte de mettre trop de temps à le lire était infondée. 90 pages imprimées en gros caractères. L'envie de savoir la suite, de connaître le résultat de cette introspection me l'ont fait lire (presque) d'une traite.
C'est dur et douloureux. La fin n'a pas été une surprise même si je la voyais un peu différente.
J'avais emporté ce petit livre pour me tenir compagnie pendant que je mangerai mon sandwich hier à Dijon, j'ai été tellement happée qu'au lieu de continuer mon léchage de vitrines, je suis allée m'asseoir, au soleil, dans le square de la place des Ducs pour le terminer.
C'est le premier roman d'Anne Révah, j'attends le suivant avec impatience.
C'est dur et douloureux. La fin n'a pas été une surprise même si je la voyais un peu différente.
J'avais emporté ce petit livre pour me tenir compagnie pendant que je mangerai mon sandwich hier à Dijon, j'ai été tellement happée qu'au lieu de continuer mon léchage de vitrines, je suis allée m'asseoir, au soleil, dans le square de la place des Ducs pour le terminer.
C'est le premier roman d'Anne Révah, j'attends le suivant avec impatience.